vendredi 29 juillet 2011

Un Oncle Incestueux a détruit la vie de sa nièce Handicapée de 12 ans à Pointe-Noire

Âgée de 12 ans aujourd'hui, la petite Makouba orpheline de mère recueillie par sa  chez sa tante avec son frère aîné de 14 ans été surpris en flagrant délit avec son oncle par sa tante au quartier Mpaka le 25 juin dernier.

En effet, Makouba handicapées physique de son état, vie avec sa tante Marie et son oncle Benoît, âgé de 67 ans. D'après la petite,son oncle à commencé à la tripoté depuis l'âge de 6 ans, en prétendant de prendre la paternité de la laver.
Cela fut ainsi chaque jusqu'à ce qu'elle décide d'en parler à sa tante qui l'accuse de menteuse en défendant son époux.
Déjà, son frère MAKINOU avait surpris son oncle avec sa cadette à trois reprises, menacé d'expulsion par ce dernier s'il en dit mot à sa tante, le garçon n'a jamais rien dit.
Ce 25 juin 2011, alors qu'elle revenue à la maison pour récupérer les clés de son bureau, Marie à surpris son époux Benoit dans leur lit conjugale en plein acte sexuel avec la petite.

Prise de colère et de panique, elle couru chercher de quoi frapper son époux, elle ne trouva qu'un fer à repasser bien chaud qu'elle ramena dans la chambre pour brûler son époux.
Malheureusement, le gars avait pris la fuite en passant par le fenêtre alors que, la petite apeurée et larmoyant sans force essayait de quitter le lit.

Sa tante la rattrapa et lui fit passer le le fer à repasser sur le dos comme l'illustre cette photo.
Traumatiser, la petite à perdu la faculté de langage et devenu doublement handicapée.
En attendant de collecter d'autres informations sur son état et de sa tante devenu hypertendue...............................................................à suivre...
                    
                                                                                                         YAGEO

mardi 19 juillet 2011

Une femme Handicapée et enceinte de huit mois, tuée par son mari pour n’avoir pas apprêté à temps la table.

La ville de Pointe-Noire au Congo vient d’enregistrer une fois de plus une autre victime des violences faites aux femmes.
En effet Mademoiselle Edwige NDOLOU handicapée physique ( des deux membres inferieurs)et âgée de 24 ans est fiancée à un jeune combattant MAKOKO avec qui elle vie maritalement depuis le début de sa grossesse au quartier Tié-Tie Bissongo ; étant à son huitième mois de gestation, son état ne lui permettait plus d’accomplir certaines tâches ménagères, sinon avec une grande lenteur.
 La journée du samedi 3 juillet 2010 a été une journée très difficile pour elle. Elle a fait faire son marché par les voisines, habituées à l’assister et à la surveiller pendant les longues absences de son fiancé. Elle était tellement fatiguée si bien qu’elle n’a même pas pu faire la cuisine.
Son fiancé habitué à faire le trafic du Chemin de Fer Congo Océan (CFCO) entre Pointe-Noire et Nkayi en temps libre pour acheter les produits agricoles, les revendre afin de joindre les deux bouts de mois était rentré ce soir là, lui aussi, fatigué du voyage et affamé. Arrivé à la maison, il a trouvé Edwige allongée sur le lit.
MAKOKO a demandé à sa fiancée de lui faire la table, après 10 minutes, Edwige n’obtempérait pas, fâché de cet attitude, il commença à vociférer, injuriant Edwige et attirant l’attention de tout le voisinage. Quelques minutes plus tard, comme si cela était prémédité, il se jeta sur la future maman la roua de violents coups de points, oubliant totalement qu’elle était enceinte.
Alerter par les cris de la jeune fille, les voisins ont accouru, mais MAKOKO n’a pas voulu ouvrir la maison, malgré les supplications du logeur.
Ayant remarqué que sa victime ne bougeait plus, MAKOKO est tranquillement sorti de la maison nuitamment pour prendre la fuite.
Edwige, étouffée et incapable de crier au secours pour la seconde fois, s’est éteinte silencieusement avec sa charge enfermée dans cette maison. Elle est découverte morte le troisième jour après la dispute.
C’est l’afflux des mouches qui ont obligées le logeur à casser la porte , il a été surpris de constater là gisant sur le sol le corps inerte de la jeune fille, la bouche couverte de mouches et son ventre encore plus ballonné qui laissait entrevoir aucun espoir pour la progéniture qui devait en sortir hélas.

Le chef de quartier informer à a son tour appeler la police qui arrivée près de deux heures après pour faire le constat et l’enlèvement du corps.
C’est lors de l’enlèvement de ce corps sans vie que l’on a constaté qu’il était défiguré et couvert d’hématomes avec les membres supérieurs brisés.
Ces parents désespérés et le cœur serré ont emprunté un taxi pour assister au dépôt du corps  à la morgue municipale de Pointe Noire.
La Sage femme qui suivait Edwige à l’Hôpital de Base de Tié-Tié de Pointe-Noire, nous a confié que sa patiente se portait bien ainsi que le Bébé qu’elle portait.
Un Bébé qui selon la sage femme devrait venir au monde la semaine suivante.

Le criminel ayant pris la clé des champs, ses parents ne se sont même pas présentés auprès de la famille d’Edwige pour l’organisation des obsèques de peur des représailles.
C’est un grand malheur pour les parents d’Edwige qui était heureux de voir leur fille unique et handicapée de son état vivre maritalement avec un homme et à l’avenir jouir du fait de devenir une épouse au foyer.
Ce qui nous rassure dans ce drame c‘est que la police à promis transmettre ce dossier au procureur de la République.
Le criminel MAKOKO sera un jour malgré sa cavale arrêté et jugé pour le crime qu’il a commis sur une femme si jeune qui n’avait plus que quelques jours pour donner UNE AUTRE VIE.
Cette situation triste, vient une fois de plus d’endeuiller les femmes Ponténégrines leaders dans la lutte contre les violences faites aux femmes devenue notre cheval de bataille.

                                                                                                  Georgees - Georgette
                                                                                                      HSF /Congo /2011

mardi 14 décembre 2010

célébration de la jounée mondiale des personnes handicapées sous le signe de la sensibilisation sur les violences faites aux femmes

Le 3 Décembre 2010 l'humanité entière a célébré la Journée Internationale des Personnes Handicapées.

A Pointe-Noire au Congo l'occasion a donné lieu à une séance de sensibilisation des personnes handicapées sur les violences faites à l’égard des femmes en général et des femmes Handicapées en particulier, organisé par l'Association Handicapés sans Frontières Congo Sociales de Pointe-Noire.

La 18ème journée Mondiale des Personnes Handicapées instituée par les Nations Unies depuis 1992 a été placée sous le thème : "Tenir sa Promesse : Intégrer la Dimension du Handicap dans les Objectifs du Millénaire pour le Développement" .
 
En effet en lisant les Objectifs du Millénaire pour le Développement, de la première ligne à la dernière l’on peut constater que les femmes, les hommes, les enfants sont pris en compte sans une spécificité en parlant de la pauvreté ou de la vulnérabilité, mais les personnes vivants avec handicap qui représentent 10% de la population mondiale n'ont été mentionné nul part.  .
Si par inattention une grande institution comme les Nation Unies et tous les gouvernants n'ont pu s'en apercevoir ou ont simplement oublié cette catégorie de notre population, nul n'est besoin de rester muet, ni d’ étouffer ses ambitions. Ce thème national devrait plutôt être une opportunité d'accentuer des initiatives et des politiques au niveau de chaque pays pour rappeler aux Nations Unies qu'une faute grave à été commise et mérite d'être rattraper en intégrant la dimension du handicap dans les OMD.
Géralement en Afrique au-delà de leur vulnérabilité les personnes handicapées vivent dans la pauvreté, la majorité est analphabète illettrée et presque exclue .             

C' est pourquoi les membres de l’Association Handicapés sans Frontières Congo .qui mènent des activités dans le cadre de L'OMD3 ont saisi cette occasion pour mener une campagne de sensibilisation porte à porte sur les violences faites aux femmes handicapées.
Ce 3 Décembre 2010, c'est un vendredi, jour ouvrable pour tous les travailleurs, mais aussi jour de fête pour les personnes handicapées qui célèbre la 18ème journée la main à la tâche. 
Les membres de l'Association Handicapés Sans Frontières Congo et le Directeur Départemental des Affaires Socialesde Pointe-Noire, Mr Magloire SAYI ont fait le porte à porte dans leurs ateliers de couture pour discuter,échanger avec les handicapé(e)s sur violences .
Ce porte à porte ou atelier en atelier a débuté par le centre des personnes handicapées du quartier Foucks qui a un effectif de 34 personnes dont 1 chef d’atelier, son adjoint,  une trésorière, 2 maîtres  et 16 jeunes apprenantes.
Ensuite  l’équipe de HSFC s’est rendu au quartier Maténdé chez Maguy couture pour sensibiliser 09 femmes qui travaillent dans cet atelier  en présence du chef de bloc et des habitants des alentours en présence d’autres personnes handicapées surtout les hommes venus écouter le message. 
Cette campagne a été bouclé au Centre de réflexion des femmes handicapées à 7/7 de dany de Tié Tié qui compte 14 apprenantes dont 10 handicapés moteurs et 05 jeunes filles sourdes et des curieux; là aussi plusieurs handicapées sont venus écouter le message :
Un plan de communication simple a été déroulé avec des outils de  méthodologie conçus et initiés par HSF (des tableaux de peinture) et des préservatifs ;:
1-présentation de HSFC ; du PARF-PARC et Azur Développement
2- Présentation du thème de la journée
3- Présentation des violences : Qu’est ce qu’une  violence ? (Brutalité, agression, viols, injures,  rejet, abandon, inceste, prostitution forcée....)
Puis les séries des  Questions : 
Qui fait la violence ? Parents ; amis ; la femme et l’homme aussi.
Sur qui et pourquoi ? A cause du handicap ; de  la supériorité ; mauvaise foi ; inconsidération.
Où? Dans la famille, dans la rue chez soi, au marché, à l’atelier, partout…
Quand ? Le jour ; la nuit ; quand l’occasion se présente.
Que faire  pour éviter ? Éviter de marcher seule ; de rester toujours seule ; de porter le habits moulants pour éviter d’attirer l’attention.
Que faire ? Dénoncer les actes de violences vécues ; des attouchements;
Démontrer qu’on  est aussi des êtres  vivants respectables .
Comment : Par le travail. «On a pas les pieds mais la tête pour créer et prendre des initiatives, réfléchir : on crée ;on invente ;on vit on peut étudier avoir des diplômes comme les autres donc nous ne devons pas continuer à subir toutes les violences
A l'issue de chaque séances de sensibilisation des préoccupations ont été évoques et se résume ainsi:
  • Il faut nous faire connaître les lois: comment faire si on est agresser? à qui s’adresser on a pas l’argent pour aller au PSP ?est ce que le PARF-APC ne peux pas faire ces dessins dans les écoles des sourds pour une meilleure sensibilisation de cette catégorie de personne handicapée.
Les messages sur les tableaux  de peintures ont aider les femmes sourdes à comprendre le message sur les violences faites à leur égard.
c'était aussi l'occasion de rappeler à tous et à toutes que le SIDA est  toujours là, il faut se protéger.
Chez la coiffeuse une aiguille une femme  comme à l’atelier de couture .
Chez le coiffeur un homme une lame ; un homme une tendeuse .
Il sied de rapeller qu'à l'issue de séance Le Directeur Départemental des Affaires Sociales de Pointe Noire à pris la parole pour annoncer l'intégration à la fonction publique de 37 personnes handicapées pour le compte du département de Pointe-Noire.Il a ensuite précisé que la Minstre Emiliènne RAOUL à promis de poursuivre son initiative en vue de l'intrégration réelle de la personne handicapée dans la société congolaise.
une collation a été offerte et des préservatifs ont été distribués
                                                         GEORGEES Georgette 
                                                          HSF/Congo Dec. 2010 





jeudi 4 novembre 2010

SIX RECOMMANDATIONS ADOPTEES PAR LES FEMMES DES MEDIAS ET HANDICAPEES POUR LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

Les Femmes des Médias et Handicapées du Congo pour la lutte contre les violences faites aux Femmes ont adopté six recommandations, à l'issue d'une formation organisée par l'Association Handicapés Sans Frontières Congo, le 29 Octobre 2010 à Pointe-Noire.

dimanche 31 octobre 2010

un atelier de sensibilisation des femmes handicapées sur les violences faites à leur égard

le 10 Octobre 2010  les femmes handicapées (moteurs ou physiques, sourde muettes et déficientes visuelles) ont pris part à un atelier de sensibilisation sur les violences faites aux femmes.
cette sensibilisation rentre dans le cadre de la mise en œuvre du projet intitulé"Lutte contre les violences faites aux femmes handicapées et aux femmes des médias au moyens de la photo et de l'internet ". ce projet est financé par le Programme d'Appui aux Réseaux des Femmes de l'Association pour le progrès des Communications en sigle PARF-APC sous la coordination de l'Association AZUR Develloppement.
Trente s(30) femmes ont suivi à cette occassion trois communications:
1- Définitions et diverses sortes de violences
2- Droits et  obligations des victimes
3- Prise en charge pschychologique des victimes des violences.c'était un atelier participatif avec comme outil méthodologique des dessins initié par l'Association Handicapes Sans frontières Congo représentants des femmes handicapées subissant toutes sortes de violences.
ces trois thèmes développé ont permis aux femmes handicapées de comprendre le besoin de s'exprimer sur les violences vécues.Des témoignages macabres ont été donnés par quelques participantes qui avaient garder longtemps en elles ces secret de violences vécues et qui depuis n'avaient pas eu l'espace ni l'opportunité pour s'extérioriser.
Après avoir compris qu'il existent des associations qui font un grand travail d'écoute et un accompagnement juridique comme le Comptoir Juridique Junior, OCDH, les femmes ont décidé de se confier désormais a ces srtuctures car disent elles avec la police c'est très difficile de punir leurs agresseurs qui souvent sont relaché quelqueq heures seulement apèrs avoir commis le forfait.
les participantes ont accueilli avec joie l'initiative sur la formation aux TIC qui pourra les aider à avoir des preuves pour lutter contre les violences qu'elles subissent au quotidien et on promis participé massivement à la deuxième phase du projet qui est l'initiation à la photo et à l'internet..
                                                                                                     G. MEDJA
                                                                                                H.S.F.Congo/ 2010
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